Je le connaissais de nom depuis les années 80, quand il était en exil comme journaliste et écrivain fuyant l’apartheid. Notre première rencontre eut lieu à Paris, en 2004, chez mon ancien éditeur Dapper où j’avais conseillé à la traduction d’un de ses livres en français. La dernière fois qu’on s…’est vus c’était en Corée du Sud, à un festival de littérature, il venait de sortir son hilarant roman « Mandela et moi ». L’un des derniers géants de la littérature sud-africaine vient de tirer sa révérence. Allez, à la prochaine, Lewis!