Que peuvent avoir en commun le nommé Gobineau, auteur de L’Essai sur l’inégalité des races humaines et David Diop, l’auteur de Coups de pilon? Gobineau, né à Ville d’Avray, possède une rue à son nom à Bordeaux, alors que le poète sénégalais, natif de Bordeaux n’a pas de rue à son nom dans la ville dirigée par M. Alain Juppé, auteur un jour, peut-être, de L’inégalité du citoyen devant le cadastre? Tout est possible. Mais une question tout de même, existe-t-il une rue David Diop à Dakar, comme il y a, j’imagine, une rue de Gaulle à langle de la rue Senghor? Allez, la provo’ est facile, je le reconnais mais j’avais tellement envie de la faire!
Enfin, puisque je n’ai toujours pas trouvé de formule marrante pour souhaiter la bonne année à tous les habitants de ce village virtuel, aux « ayatollahs » comme au « strip-teaseurs », à ceux qui savent tout et à ceux qui essayent de comprendre, jemprunte la formule à un douanier de Ouaga, lequel a envoyé ses voeux à la soeur d’une amie à Lomé en ces termes:
« Bonne année dans la sagacité de Dieu. Couper avec le passé, décaler vers l’avenir, décoller du péché, mettre Satan sur petit vélo et planer avec le Saint Esprit. »
P.S. De la peine à trouver une photo de David Diop sur la toile, quelqu’un en aurait-il une pour l’illustration de mon post? Gobineau en a plein, Diop, je cherche toujours; et ne me dites pas que c’est parce qu’il a disparu trop tôt qu’on ne peut trouver une photo de lui sur le net? Merci d’avance .