Deux faits ont attiré mon attention cette semaine: l’hommage de l’Etat d’Osun (Nigeria) au prix Nobel de littérature Wole Soyinka, et la mort, en Italie, de celui qui fut un maître pour ma promotion à l’Université du Bénin (comme on disait): le sémiologue Umberto Eco. Continue reading A propos des signes, et pour saluer Umberto Eco