Mercredi 24 mars. Jai fait deux rencontres intéressantes. Dabord celle des élèves de la classe de 5e de lécole camerounaise de Malabo. Ce matin-là, javais rendez-vous avec eux pour parler littérature. Il y a toujours une candeur chez les jeunes élèves lorsquils parlent de littérature. Ils ont une image de lécrivain, très valorisante pour ce dernier, alors que lui-même, souvent, se considère tout au plus comme un plumitif esclave des mots.