Dans un post sur la littérature togolaise, j’avais évoqué la question de la rareté des auteures (comme on dit au Québec), des plumes féminines dans la littérature togolaise. Je tentais de comprendre un phénomène qui n’est peut-être pas unique au Togo, mais qui est assez symptomatique d’une mentalité à analyser. La lecture récente d’un roman signé Jeannette Ahonsou, écrivaine togolaise, m’a quand même remis du baume au coeur, même si je n’ai toujours pas la réponse à ma question: à quand le règne des femmes sur la littérature togolaise?