Dans le cadre de mon cours sur la littérature togolaise, je préparais un dossier sur les romans de Théo Ananissoh, auteur dont je viens de mettre les uvres au programme pour la rentrée prochaine, quand je suis tombé sur cette critique de son dernier roman. Depuis sa sortie, j’avais un problème avec « Ténèbres à midi », une sorte de retour au pays de l’écrivain togolais, drapé dans une ambiance « Voyage au Congo », voire « retour du Tchad » d’André Gide.

Dans le cadre de mon cours sur la littérature togolaise, je préparais un dossier sur les romans de Théo Ananissoh, auteur dont je viens de mettre les uvres au programme pour la rentrée prochaine, quand je suis tombé sur cette critique de son dernier roman. Depuis sa sortie, j’avais un problème avec « Ténèbres à midi », une sorte de retour au pays de l’écrivain togolais, drapé dans une ambiance « Voyage au Congo », voire « retour du Tchad » d’André Gide. Théo, aussi moral que Gide, a écrit un roman qui m’a semblé complet dans sa première partie, et… je ne sais pas… mal structuré dans sa seconde partie, où le livre part dans toutes les directions. L’auteur déteste être volubile, lyrique, mais les notes éparses du narrateur en voyage ont tout à coup l’air de n’avoir pas été arrangées. M’enfin…! La critique qui suit, résume assez bien, je crois, mes sentiments de lecteur!
http://www.revueeplares.com/litt%C3%A9rature/th%C3%A9o-ananissoh/