
– dissimulant néanmoins une promesse à la floraison mature des chairs –, prolongées par des cuisses au galbe sportif, très garçon manqué. Mon regard est attiré, malgré moi, vers le croisement des masses. Puissant.
Une raie. Un noyau replet comme un beignet trempé dans une tisane sucrée, qui redessine à l’endroit, grâce à l’appui d’une tache noire, l’entrée de l’artiste au royaume de la sensualité. Les pieds se perdent dans la blancheur du tableau, et l’ocre dans lequel l’ensemble reste à jamais jeté. Impression de puissance. J’achète !