
Je viens de lire une interview du doyen OBQ, doyen des lettres africaines, bien sûr. Lhomme a souvent dit qu’il était menacé au Bénin, raison pour laquelle il n’est plus retourné dans son pays depuis un bail. Bon, l’interview ne nous dit pas pourquoi il est menacé, mais je veux croire qu’un jour le doyen finira par lâcher le morceau. Les fantômes de nos nations se promènent là où l’on ne les attend pas.
Cliquez sur le lien pour lire l’interview: http://www.afrik.com/article23640.html