CLANDESTINS DU MONDE ENTIER, PARDONNEZ-MOI !

clandos_0.jpgA l’occasion du dernier Festival de Théâtre du Bénin (FITHEB), une de mes pièces a donné lieu à une polémique à laquelle j’étais loin de m’attendre. En effet, suite à la présentation d’ATTERRISSAGE (Editions Ndzé), plusieurs débats avaient été organisés autour du spectacle dans des lycées et collèges du Bénin.

A propos des tâches, ménagères!

menage_0.jpgSouvent pour fuir les tâches ménagères, j’invoque les alibis les plus fantaisistes que tous les maris de mauvaise volonté connaissent par cœur. Mais les femmes sont des êtres à sang froid, elles connaissent les moment idéal pour nous donner des leçons de vie. Quand ce dimanche matin, à midi, j’ai été réveillé de force pour aller acheter de la viande avant la fermeture à 13h de la superette du quartier, j’ai eu envie de crier ma révolte d’esclave

LES MENSONGES DE MATHIEU KEREKOU?

Roger Gbegnonvi, l’un des intellectuels les plus actifs de la scène béninoise, publie régulièrement des chroniques que je reçois par le biais de notre ami commun Jean-Norbert Vignondé. L’actualité des élections présidentielles dans le Bénin de Mathieu Kérékou a fait resurgir ces jours-ci les démons du mensonge et de la mauvaise foi des hommes politiques. A quoi joue le camarade Caméléon?

Blaguer, bloguer: communiquer!

blog_0.jpgRien d’indispensable sur un blog, sinon l’envie têtue de partager avec ami(e)s et détracteurs (paranoiä, quand tu nous tiens!) émotions et quelques idées plus ou moins biscornues. J’ai longtemps résisté à l’appel de l’outil blog, maintenant que j’en suis aux portes, trop tard pour proclamer avoir pris le mauvais tunnel. A vous tous, à vous toutes, compagnons de clavier, bienvenue…

COMMENT RATER UN CAFE LITTERAIRE ?

images1Il n’y a rien de plus frustrant pour des écrivains que l’ignorance affichée à l’endroit de leur œuvre par un critique bien intentionné mais mal préparé qui, au lieu de centrer ses interrogations sur le contenu des livres préfère s’en tenir à des thématiques annexes complètement éloignées des préoccupations des auteurs. Le 16 Février 2006, j’ai vécu ce calvaire au Centre Culturel Français de Lomé lors d’un café littéraire en compagnie de l’écrivain togolais Edem Kodjo…