Dans le cadre de mon cours sur la littérature togolaise, je préparais un dossier sur les romans de Théo Ananissoh, auteur dont je viens de mettre les uvres au programme pour la rentrée prochaine, quand je suis tombé sur cette critique de son dernier roman. Depuis sa sortie, j’avais un problème avec « Ténèbres à midi », une sorte de retour au pays de l’écrivain togolais, drapé dans une ambiance « Voyage au Congo », voire « retour du Tchad » d’André Gide.