Il restait quelques heures avant la présentation de mon roman à Lomé quand je suis tombé sur cet article de la critique belge Lilyan K. Que de mépris, pensais-je en relisant ces lignes, que de manque de courage et de lucidité de la part dune critique dépassée par les allures de la littérature que notre génération propose. Florent Couao-Zotti quelle croit vivre à Paris est arrivé à Lomé la veille de Porto-Novo, ville où il a toujours vécu ! Je pensais à Sami Tchak dont javais souhaité la présence à mes cotés pour cette présentation. Au moment où nous commencerons la présentation, Florent Couao-Zotti et moi, il sera encore dans lavion, ayant raté son vol samedi dernier. Je suis fier dappartenir à cette génération, et je le dis sans ciller : nos uvres nont pas encore trouvé leurs critiques. Que ceux qui ne me croient pas tentent de nous relire, vraiment, juste pour me démontrer le contraire. La vulgarité prétendue nest pas forcément du côté de ceux quon croit. Bonne lecture !