Ok, je ne suis pas invité à linvestiture du Président Obama. Aucun chef dEtat africain non plus, me semble-t-il, tiens, étrange ! De quoi donner raison à lessayiste centrafricain Joseph Ngoupandé, lequel, dans son livre De Lucy à Obama (Albin Michel, 2009), qualifie cette ferveur, cette transe raciale des Africains devant lascension dun des leurs ( ?), de pure negromania.