Il aurait eu 100 ans cette année. Il n’y a que les vivants à fêter le virtuel, car j’ignore si Senghor eût aimé atteindre cet âge ingrat où la chair enferme l’esprit dans ses humeurs désagréables. Il n’a pas eu 100 ans, mais dans 100 ans, peut-être sera-t-il encore lu, Senghor, descendu en flèche, adulé…